Famille, nous sommes…
The Topp Twins : Untouchable Girls
La robe du soir
The Topp Twins : Untouchable Girls
Nouvelle-Zélande, 2009
Réalisation : Leanne Pooley
Production : Diva Productions, New Zealand Film Commission
Interprètes : Jools Topp, Linda Topp
Genre : Comédie/ Musique
Documentaire
84’
Prix du public au meilleur documentaire du Festival Queer de Hambourg
Prix au meilleur documentaire au Festival international de cinéma de Chicago
Prix au meilleur documentaire au Festival de cinéma de Toronto
Avant-première en Espagne
Peut-on être à la fois néozélandaise, lesbienne, fermière, chanteuse de country, clown, actrice de séries télé, « trésor national » de son pays, et avoir une sœur jumelle qui est aussi tout cela ? Les sœurs Jools et Linda Topp le démontrent, avec une énergie et un sens de l’humour que vous n’oublierez jamais.
Nées en 1958, dans une famille de fermiers –métier qui sera plus tard le leur avec leurs respectives petites amies–, elles commencent à chanter du Country dans la rue, avant de connaître un succès incroyable. Elles parcourent les scènes de tout le pays depuis maintenant 25 ans et possèdent leur propre programme de télévision. Ouvertement lesbiennes et considérées littéralement « Trésors Nationaux » par la Nouvelle-Zélande, elles ont aussi entrepris une lutte contre le cancer du sein, depuis que Jools a souffert de cette maladie. Leurs personnages télévisés comme Ken et Ken, Camp Mother et Camp Leader ou The Bowling Ladies, sont aujourd’hui des références hilarantes pour le public néozélandais.
Un documentaire sensationnel, illustré par d’excellentes interviews de leurs parents et leurs partenaires, qui a battu tous les records d’audience et de recettes en Nouvelle Zélande.
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La robe du soir
France, 2009
Réalisation : Myriam Aziza
Production : Mille et Une Productions
Interprètes : Alba Gaïa Kraghede Bellugi, Lio, Sophie Mounicot
Genre : Drame/ Enfance
Long-métrage fiction
95’
Avant-première en Espagne
Juliette est une enfant de douze ans, intelligente et appliquée, dont l’univers émotionnel tourne autour de son professeur de français, Madame Solenska, une relation qui devient peu à peu obsessive. Qui n’est jamais tombé amoureux d’un ou d’une de ses profs ? Qui n’a jamais ressenti, au moins une fois, le vide de l’incompréhension et le silence d’un désir caché ?
Myriam Aziza nous offre un film sur la perte de l’innocence, l’éducation et l’apprentissage, une réflexion lucide sur les conflits scolaires qui nous permet de voir et d’analyser de près le monde intérieur de Juliette, tout en réussissant à comprendre, sans condescendance ni tendresse gratuite, les nuances qui vont de la découverte de la sexualité jusqu’aux états émotionnels les plus altérés. Et ainsi, à partir d’un point de vue différent, le cinéma français suit les tribulations accélérées de la dernière décennie, sur les formes contemporaines de l’éducation formelle.
Un film sincère et nécessaire pour comprendre les mécanismes intérieurs du désir et de l’identification, à un des âges les plus difficiles pour l’être humain, celui du passage de l’enfance à l’adolescence.
